« Si vous aimez le bal canto, courrez au théâtre Mouffetard pour les applaudir ! »
Le Denis Blog
Le Bey Mustafa décide d’avoir pour femme une personne de caractère : une italienne. Il délaisse son épouse officielle lorsqu’échoue sur ses terres un navire italien et qu’est faite prisonnière une italienne. Elle va, par ruse et par séduction, le mener par le bout du nez et ainsi libérer tous les esclaves italiens et redonner son prestige à l’épouse esseulée.
Un trio piano, violon et violoncelle accompagne les chanteurs. Comme c’était la première, les voix étaient peu sûres au début, mais les airs entraînant ont tôt fait de leur redonné la clareté initiale.
Les chants sont en italien (bien sûr) et les texte en français. La mise en scène est très théâtrale pour que le public puisse comprendre se qu’il se joue devant lui sans l’aide d’un bandeau traducteur. Les décors sont au goût du jour : à combinaisons multiples, et très beaux.
Si vous aimez le bal canto, courrez au théâtre Mouffetard pour les applaudir !